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Eurostoxx 50 3.473,69 points +0,91% CAC 40 5.538,97 points +0,83% DAX 30 12.398,80 points +1,04% FTSE 100 7.425,63 points +0,31% SMI 9.898,24 points +0,39% AEX 561,76 points +0,76% BEL 20 3.547,46 points +0,97% IBEX 35 9.198,80 points +0,56% DJIA 26.599,96 points +0,28% Nasdaq 8.006,24 points +0,48% S&P 500 2.941,76 points +0,58% Nikkei 225 21.717,19 points +2,07% (cours à 7h25) Cours de change à 06h50 Variation par rapport à la clôture à New York EUR/USD 1,1352 -0,18% EUR/JPY 122,90 +0,17% USD/JPY 108,27 +0,34% | | | Les investisseurs seront attentifs lundi aux chiffres définitifs de l'indice PMI du secteur manufacturier. Les données provisoires, publiées par IHS Markit le 21 juin, faisaient était d'une progression de l'indice à 52, son niveau le plus élevé depuis neuf mois, contre 50,6 le mois précédent. Du côté des entreprises, le secteur automobile réagira à la baisse de 8,4% des immatriculations de voitures neuves en juin. Les constructeurs français se sont moins bien tenus que l'ensemble du marché, avec un repli de 10,9% pour Groupe PSA et de 11,7% pour Renault. Trigani publie par ailleurs son chiffre d'affaires du troisième trimestre. | | | Les marchés d'actions européens devraient ouvrir en nette hausse lundi, soutenus par la trêve commerciale entre les Etats-Unis et la Chine et la reprise des négociations entre les deux pays. A 7h50, le contrat à terme sur le CAC 40 s'adjugeait 52,9 points, ou 1%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat à terme sur le DAX 30 progressait de 157,7 points, ou 1,3%, et celui sur le FTSE 100 gagnait 60,2 points, soit 0,8%. Le président américain, Donald Trump, et son homologue chinois, Xi Jinping, ont conclu samedi au Japon un cessez-le-feu commercial. Les deux parties ont indiqué que les pourparlers bilatéraux reprendraient et que les Etats-Unis suspendraient, pour une durée indéterminée, leur projet d'imposer des droits de douane sur les quelque 300 milliards de dollars d'importations chinoises qui ne sont actuellement pas couvertes par des taxes de 25%. En outre, Donald Trump a annoncé qu'il laisserait les entreprises américaines vendre du matériel de haute technologie à l'équipementier télécoms chinois Huawei et que la Chine commencerait à acheter d'importantes quantités de produits agricoles américains. "Après avoir passé la majeure partie des deux derniers mois au purgatoire de la guerre commerciale et le sommet du G20 étant terminé, les marchés à risque se réjouissent des événements de samedi", écrit Stephen Innes, associé chez Vanguard Markets, dans une note lundi. "Les investisseurs poussent un énorme soupir de soulagement", ajoute-t-il. Toutefois, les inquiétudes au sujet des relations à long terme entre les Etats-Unis et la Chine et de l'évolution des taux d'intérêt pourraient brider la hausse des marchés. Steve Chiavarone, gérant de portefeuille chez Federated Investors, explique que les termes vagues de l'accord sino-américain ne changent pas grand-chose à l'incertitude à laquelle sont confrontés les marchés d'actions et les entreprises qui cherchent à établir leurs budgets d'investissements pour le reste de l'année. "Ce n'est pas une mauvaise nouvelle, mais ce n'est pas complètement non plus la bonne nouvelle dont les marchés avaient besoin pour se revigorer", estime Steve Chiavarone. "Tout ira bien pour les marchés, mais ce ne sera pas une semaine exceptionnelle. Des questions demeurent quant à la conclusion d'un accord, au temps qu'il faudra pour y parvenir et à la prochaine tranche de droits de douane", précise-t-il. L'attention des investisseurs se portera lundi sur les indices PMI du secteur manufacturier en zone euro, sur les chiffres du chômage en Allemagne et en zone euro, ainsi que sur la réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à Vienne. Luis de Guindos et Philip Lane, membres du directoire de la Banque centrale européenne, doivent par ailleurs s'exprimer dans la journée. Les marchés d'actions asiatiques s'inscrivent pour la plupart en hausse lundi, soutenus par la trêve commerciale entre Washington et Pékin. En fin de séance, l'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo gagnait 2,2%, tandis que l'indice Shanghai Composite prenait 1,8%, ignorant un affaiblissement de l'activité manufacturière en Chine en juin. L'indice PMI du secteur manufacturier chinois établi par Caixin et Markit a reculé à 49,4 en juin, contre 50,2 en mai. L'indice passe ainsi sous le seuil de 50 qui délimite expansion et contraction de l'activité pour la première fois depuis quatre mois. Parallèlement, l'indice Hang Seng cédait 0,3% à Hong Kong, les manifestants et la police s'étant à nouveau affrontés dans les rues. Par ailleurs, Donald Trump est devenu le premier président américain en exercice à franchir la frontière qui sépare la Corée du Nord et la Corée du Sud, ce qui a donné lieu à une rencontre organisée à la hâte avec le dirigeant nord-coréen, Kim Jong Un, et abouti à un engagement à reprendre les négociations sur la nucléaire. Donald Trump a déclaré dimanche que les deux pays avaient convenu de désigner des équipes de négociateurs sur le nucléaire qui commenceront à travailler au cours des prochaines semaines. Wall Street a terminé en hausse vendredi, portée par les valeurs bancaires après les tests de résistance menés par la Réserve fédérale et l'espoir d'une percée dans les négociations commerciales sino-américaines lors du G20. L'indice Dow Jones (DJIA) a gagné 0,3% à 26.599 points, tandis que l'indice élargi S&P 500 a pris 0,6% à 2.941 points. L'indice Nasdaq 100, riche en valeurs technologiques, a terminé sur un gain de 0,5% à 8.006 points. | | | Les rendements des obligations du Trésor américain ont reculé entre avril et juin pour le troisième trimestre consécutif. Cette baisse reflète les inquiétudes suscitées par le ralentissement de la croissance économique mondiale et par les tensions commerciales, qui ont alimenté la demande d'actifs refuges. Le rendement du titre de référence à dix ans a terminé à 2% vendredi, contre 2,007% la veille. | | | Le dollar gagne du terrain lundi matin face aux autres grandes devises, dont l'euro et le yen, soutenu par la trêve commerciale conclue à Osaka par les présidents américain et chinois, Donald Trump et Xi Jinping. En Europe, l'attention des opérateurs est centrée sur le Conseil européen, où les chefs d'Etat ou de gouvernement de la région tentent de trouver un compromis sur les postes clés de l'Union européenne, notamment la présidence de la Commission européenne et du Conseil. Selon Goldman Sachs, les marchés se concentrent sur les implications des décisions qui pourraient être prises pour la présidence de la Banque centrale européenne (BCE). Le mandat de Mario Draghi à la tête de l'institution s'achève en octobre 2019. De son côté, la livre sterling continue de sous-performer la plupart des autres grandes devises, minée par le risque d'un Brexit sans accord le 31 octobre. Boris Johnson, le favori pour remplacer Theresa May à la tête du Parti conservateur et du gouvernement britannique, a de nouveau prévenu qu'il n'excluait pas une brève suspension du Parlement afin de procéder au Brexit fin octobre. Toutefois, cette option politiquement nucléaire est hautement improbable, estime la banque CBA. | | | Les contrats pétroliers gagnent plus de 2% lundi matin, portés par l'accord conclu entre la Russie et l'Arabie saoudite au cours du week-end. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés devraient prolonger de neuf mois l'accord de réduction de la production d'or noir, a déclaré dimanche le ministre saoudien de l'Energie, Khaled al-Faleh. Cette décision indique que certains des principaux producteurs de brut au monde s'inquiètent d'une éventuelle contraction de la demande l'année prochaine. L'Opep et un groupe de dix pays mené par la Russie se réunissent lundi et mardi à Vienne en vue de débattre des moyens d'équilibrer le marché mondial du pétrole. L'Arabie saoudite - leader de facto de l'Opep - et la Russie ont déjà accepté de maintenir les baisses de production aux volumes actuels, soit 1,2 million de barils par jour environ. L'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole brut, ne voit pas la nécessité de réductions plus importantes et les marchés devraient s'équilibrer au cours des six à neuf prochains mois, a déclaré Khaled al-Faleh. "La demande ralentit un peu, mais je pense qu'elle est encore saine", a-t-il ajouté. L'autre élément qui a récemment pesé sur les cours du brut, à savoir les tensions commerciales sino-américaines, semble également s'être atténué. Le courtier ThinkMarkets pense que le pétrole bénéficiera "d'un biais haussier" à court terme. Selon Affin Hwang Capital, l'anticipation d'une poursuite des réductions de production mises en oeuvre par l'Opep et ses alliés devrait entraîner une reprise à court terme des prix du Brent. Il estime que le Brent se rapprochera à court terme du haut de sa fourchette de prévisions pour les prix du pétrole, soit 65 à 70 dollars le baril. Vers 7h40, le contrat de septembre sur le Brent de mer du Nord gagnait 1,64 dollar, soit 2,5%, à 66,37 dollars le baril, tandis que celui d'août sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex s'adjugeait 1,45 dollar, soit 2,5%, à 59,94 dollars le baril. | |
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